LUTTE CONTRE LES LIBERTÉS INDIVIDUELLES
Issa Tchiroma lance la guerre contre les médias privés au Cameroun
Issa Tchiroma a utilisé les médias privés pour obtenir son poste de Ministre de la communication. Auj
ourd’hui, il se présente comme le champion des champions dans la lutte contre les médias privés. Il est surtout un danger contre la démocratie dans notre pays.
A la vérité, le régime dictatorial et corrompu de Monsieur BIYA l’a envoyé en mission, afin de préparer les esprits aux nouvelles restrictions des libertés individuelles.
Ce n’est un secret pour personne, Paul BIYA veut mourir au pouvoir. Pour ce faire, il doit absolument détruire les structures de communication par lesquelles les Camerounais s’expriment au quotidien.

A la vérité, le régime dictatorial et corrompu de Monsieur BIYA l’a envoyé en mission, afin de préparer les esprits aux nouvelles restrictions des libertés individuelles.
Ce n’est un secret pour personne, Paul BIYA veut mourir au pouvoir. Pour ce faire, il doit absolument détruire les structures de communication par lesquelles les Camerounais s’expriment au quotidien.
La décision est tombée le jeudi 6 août. Dans une correspondance adressée au promoteur de Sky One Radio, le ministre de la Communication exige l’arrêt de l’émission «Le Tribunal», diffusée sur l’antenne de cette radio de la capitale.
Ce jour là, les responsables de la radio de Joseph Angoula Angoula se réunissent pour voir ce qu’il y a lieu de faire. Le conclave débouche sur une décision changer de nom et modifier légèrement le contenu. Vite dit, vite fait.
Lundi 10 août, 10h. Le nouveau concept est sur orbite. "La Tribune" comme cela s’appelle désormais, donne de la voix. Toujours aussi populaire. Toujours aussi sentencieuse dans le ton de son présentateur, Duval Lebel Eballe.
Au ministère de la Communication, le service de l’observatoire des médias privés écoute et prend des notes. Mercredi 12 août. Issa Tchiroma Bakary Le fait une nouvelle sortie. La directive devant mettre fin à l’émission « Le Tribunal» «ne semble pas avoir été bien comprise, puisque vous avez créé une Tribunal émission de substitution dénommée La Tribune du peuple dont l’esprit, le déroulement et l’animateur demeurent ceux de la première émission», écrit Issa Tchiroma Bakary.
Le Mincom ajoute que « considérant que vous n’avez pas bien saisi le contenu de ma correspondance du 6 août 2009, j’ai l’honneur de vous demander de mettre fin à cette nouvelle émission qui ne diffère de la première que par le titre (...) Au regard de tous ces antécédents, la correspondance de ce jour est donc une mise en demeure de mettre un terme à l’émission Le Tribunal, sans en créer une autre de même genre». Dans la foulée, le ministre de la Communication rappelle qu’un organe de presse n’est ni un service d’enquête judiciaire, ni une juridiction, ni une instance de : « Si conciliation entre personnes en conflit. Et même, il lâche cette menace vous persistez sur cette voie, je me verrai contraint de prendre d’autres mesures qui pourraient aller jusqu’au retrait de l’autorisation provisoire qui vous a été délivrée».
A Sky One Radio, la réaction ne s’est pas fait attendre. Sur fond d’applaudissements populistes, les responsables de cet organe ont juré de poursuivre leur mission « d’information, d’éducation et de divertissement ». «Ce n’est pas un bras de fer en tant que tel. On nous a dit que nous n’avions pas compétence à faire des enquêtes. Désormais ce n’est pas nous qui le faisons, c’est une association l’Association pour la défense de la morale républicaine africaine (Ademora)», explique Joseph Angoula Angoula, le directeur général de Sky One Radio. En tout cas, Duval Lebel Eballe et son équipe sont, depuis lundi, remontés au prétoire pour torturer, comme à la barre, ceux qui « abusent des autres » ou font main basse sur la fortune publique.
Au ministère de la Communication, le service de l’observatoire des médias privés écoute et prend des notes. Mercredi 12 août. Issa Tchiroma Bakary Le fait une nouvelle sortie. La directive devant mettre fin à l’émission « Le Tribunal» «ne semble pas avoir été bien comprise, puisque vous avez créé une Tribunal émission de substitution dénommée La Tribune du peuple dont l’esprit, le déroulement et l’animateur demeurent ceux de la première émission», écrit Issa Tchiroma Bakary.
Le Mincom ajoute que « considérant que vous n’avez pas bien saisi le contenu de ma correspondance du 6 août 2009, j’ai l’honneur de vous demander de mettre fin à cette nouvelle émission qui ne diffère de la première que par le titre (...) Au regard de tous ces antécédents, la correspondance de ce jour est donc une mise en demeure de mettre un terme à l’émission Le Tribunal, sans en créer une autre de même genre». Dans la foulée, le ministre de la Communication rappelle qu’un organe de presse n’est ni un service d’enquête judiciaire, ni une juridiction, ni une instance de : « Si conciliation entre personnes en conflit. Et même, il lâche cette menace vous persistez sur cette voie, je me verrai contraint de prendre d’autres mesures qui pourraient aller jusqu’au retrait de l’autorisation provisoire qui vous a été délivrée».
A Sky One Radio, la réaction ne s’est pas fait attendre. Sur fond d’applaudissements populistes, les responsables de cet organe ont juré de poursuivre leur mission « d’information, d’éducation et de divertissement ». «Ce n’est pas un bras de fer en tant que tel. On nous a dit que nous n’avions pas compétence à faire des enquêtes. Désormais ce n’est pas nous qui le faisons, c’est une association l’Association pour la défense de la morale républicaine africaine (Ademora)», explique Joseph Angoula Angoula, le directeur général de Sky One Radio. En tout cas, Duval Lebel Eballe et son équipe sont, depuis lundi, remontés au prétoire pour torturer, comme à la barre, ceux qui « abusent des autres » ou font main basse sur la fortune publique.
On attend la suite cette semaine. Selon certaines indiscrétions, la décision de fermeture de Sky One Radio serait déjà prise par le Ministre chargé de mission contre les médias privés. Le régime dictatorial et corrompu de Monsieur BIYA est conscient de la popularité des émissions diffusées sur cette chaîne de radio. Dans la perspective de la confiscation des votes populaires, il faudrait absolument museler ceux qui osent lever le ton. Histoire de dire aux autres, faites attention … faites ma volonté … sinon ...
Salut!à mon humble avis je crois que Biya est un peu en dehors de tout cela:le problème des engins extorqués à un jeune camerounais revenant d'Espagne peut en être la cause surtout le ministre en charge de la justice pourrait très fortement impliqué dans cette histoire
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