Le drame s'est déroulé vendredi dernier à Yaoundé
Lorsque le
voisinage alerte les forces de l’ordre, Claude Moïse Owona Ondoa, étendu à même le sol, est sans vie. Il est alors 11h vendredi, au quartier Ahala II, non loin du quartier Nsam, à la sortie Sud de Yaoundé. Selon un témoignage recueilli sous anonymat par un gendarme qui était sur les lieux du crime, la victime âgée de 38 ans a été ligotée et tabassée à mort par son frère par alliance Luc Enyegue, qui maréchal des logis chef et adjoint au commandant de brigade de Doumé dans le département du Haut-Nyong, région de l’Est. Le crime survient après un vif échange entre l’épouse du gendarme et Claude Moïse Owona Ondoa.
Âgé de 38 ans et n’ayant pas toutes ses facultés mentales, était connu de son entourage comme quelqu’un de violent et belliqueux. Des proches de la famille expliquent qu’avant que celui-ci n’aille vivre chez son frère, le défunt avait tenté de tuer son père pendant ses crises violentes. D’après ceux-ci, il avait également l’habitude de provoquer tous ceux qui vivaient autour de lui. C’est après cet incident que, Luc Enyegue accepte de le récupérer en croyant mieux le surveiller et le contenir. Et la goutte d’eau qui vient déborder le vase, le dément s’en prend à sa belle-sœur. Après cet acte, le meurtrier, qui a pris la poudre d’escampette, se serait réfugié à l’école de gendarmerie où il était encore en stage, de peur subir la vindicte populaire. Notre source indique que l’enquête a été ouverte à la compagnie de gendarmerie de Yaoundé II, sise au quartier Efoulan, où serait d’ailleurs gardé le meurtrier selon d’autres sources. Une fois rendu sur les lieux, le gendarme qui a assuré la garde feint de ne pas savoir de quoi il est question et manifeste par la suite son refus de coopérer en faisant comprendre que : «tout ce qui concerne la gendarmerie relève du secret-défense».
Leyla Doup Kaïgama (Stagiaire)

Âgé de 38 ans et n’ayant pas toutes ses facultés mentales, était connu de son entourage comme quelqu’un de violent et belliqueux. Des proches de la famille expliquent qu’avant que celui-ci n’aille vivre chez son frère, le défunt avait tenté de tuer son père pendant ses crises violentes. D’après ceux-ci, il avait également l’habitude de provoquer tous ceux qui vivaient autour de lui. C’est après cet incident que, Luc Enyegue accepte de le récupérer en croyant mieux le surveiller et le contenir. Et la goutte d’eau qui vient déborder le vase, le dément s’en prend à sa belle-sœur. Après cet acte, le meurtrier, qui a pris la poudre d’escampette, se serait réfugié à l’école de gendarmerie où il était encore en stage, de peur subir la vindicte populaire. Notre source indique que l’enquête a été ouverte à la compagnie de gendarmerie de Yaoundé II, sise au quartier Efoulan, où serait d’ailleurs gardé le meurtrier selon d’autres sources. Une fois rendu sur les lieux, le gendarme qui a assuré la garde feint de ne pas savoir de quoi il est question et manifeste par la suite son refus de coopérer en faisant comprendre que : «tout ce qui concerne la gendarmerie relève du secret-défense».
Leyla Doup Kaïgama (Stagiaire)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire