Paul et Cantal BIYA : deux étrangers au Cameroun
Chantal Biya, am
bassadrice de bonne volonté de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (Unesco) depuis novembre 2008 se trouve depuis dimanche à New York avec son mari, pour prendre part à cette 64e Assemblée générale des Nations Unies.
Il se dit qu’elle devra, à cette occasion, apporter sa touche aux volets humanitaires qui entourent l’Assemblée générale ; elle pourrait même faire entendre son plaidoyer en faveur des populations défavorisées et vulnérables, notamment les enfants.
Je me demande si avec un tel cœur, elle n’aurait pas pu avoir une pensée pour les pauvres parents camerounais en cette période de rentrée scolaire. De retour des vacances bien arrosées de la Baule, elle aurait pu, en quelques jours, attendrir quelques familles camerounaises défavorisées et vulnérable, avant de repartir à l’étranger, là il fait bon vivre pour le couple présidentiel camerounais. On en est presque sûr : après New York, Paul et Chantal BIYA ne retourneront pas immédiatement au Cameroun, ils voudront certainement passer par la suisse, vérifier la position des comptes bancaires, faire du shopping et assurer que leurs enfants fréquentent dans les meilleures écoles du monde, et retrouver la misère des pauvres camerounais pour un court séjour privé.
C’est bien beau de participer à ces Assemblées, pour parler, parler encore et crier. Mais c’est plus intéressant de poser des actes, au moment où le peuple en a le plus besoin. Si Paul BIYA nous a montré à de nombreuses reprises qu’il se moque du peuple camerounais, au point de dépenser 28 millions de francs par jour pour ses vacances, son épouse n’a pas eu le geste de cœur que l’on aurait pu attendre d’elle en faveur des démunis. C’est comme si tout allait bien au Cameroun. Sans doute, la misère se porte bien, et le peuple souffre davantage ; la corruption ne cesse de se développer, et le tribalisme est porté en cœur par les partisans du régime.
Pour ce voyage à New York, le couple BIYA est accompagné d’une suite, et sa délégation a pris ses quartiers dans le très sélect Waldorf Astoria, pour dilapider davantage l'argent du peuple camerounais. Comme la plupart des dirigeants du monde, il prendra parole. Le vendredi 25 septembre en fin d’après midi. L'on espère qu'il dira au monde comment il fait souffrir les camerounais, comment et pourquoi il a modifié la constitution pour s’éterniser au pouvoir, comment il a érigé le tribalisme et la corruption en méthodes de gouvernement, etc.
Pour contenter ses partenaires étrangers, Paul BIYA devrait, en plus de la prise de parole annoncée pour vendredi prochain, prendre part aux manifestations spéciales sur la réduction des émissions causées par le déboisement et la dégradation des forêts des pays en développement. Son programme prévoit par ailleurs une série d’audiences, dont celle avec le secrétaire général des Nations Unies. Le dictateur BIYA cherchera probablement à rencontrer le Président Américain, histoire de se faire bonne conscience.
En tout état de cause, c’est un couple présidentiel peu soucieux des problèmes des camerounais qui se trouve actuellement à New York.
© JD pour camerounlibre
bassadrice de bonne volonté de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (Unesco) depuis novembre 2008 se trouve depuis dimanche à New York avec son mari, pour prendre part à cette 64e Assemblée générale des Nations Unies.Il se dit qu’elle devra, à cette occasion, apporter sa touche aux volets humanitaires qui entourent l’Assemblée générale ; elle pourrait même faire entendre son plaidoyer en faveur des populations défavorisées et vulnérables, notamment les enfants.
Je me demande si avec un tel cœur, elle n’aurait pas pu avoir une pensée pour les pauvres parents camerounais en cette période de rentrée scolaire. De retour des vacances bien arrosées de la Baule, elle aurait pu, en quelques jours, attendrir quelques familles camerounaises défavorisées et vulnérable, avant de repartir à l’étranger, là il fait bon vivre pour le couple présidentiel camerounais. On en est presque sûr : après New York, Paul et Chantal BIYA ne retourneront pas immédiatement au Cameroun, ils voudront certainement passer par la suisse, vérifier la position des comptes bancaires, faire du shopping et assurer que leurs enfants fréquentent dans les meilleures écoles du monde, et retrouver la misère des pauvres camerounais pour un court séjour privé.
C’est bien beau de participer à ces Assemblées, pour parler, parler encore et crier. Mais c’est plus intéressant de poser des actes, au moment où le peuple en a le plus besoin. Si Paul BIYA nous a montré à de nombreuses reprises qu’il se moque du peuple camerounais, au point de dépenser 28 millions de francs par jour pour ses vacances, son épouse n’a pas eu le geste de cœur que l’on aurait pu attendre d’elle en faveur des démunis. C’est comme si tout allait bien au Cameroun. Sans doute, la misère se porte bien, et le peuple souffre davantage ; la corruption ne cesse de se développer, et le tribalisme est porté en cœur par les partisans du régime.
Pour ce voyage à New York, le couple BIYA est accompagné d’une suite, et sa délégation a pris ses quartiers dans le très sélect Waldorf Astoria, pour dilapider davantage l'argent du peuple camerounais. Comme la plupart des dirigeants du monde, il prendra parole. Le vendredi 25 septembre en fin d’après midi. L'on espère qu'il dira au monde comment il fait souffrir les camerounais, comment et pourquoi il a modifié la constitution pour s’éterniser au pouvoir, comment il a érigé le tribalisme et la corruption en méthodes de gouvernement, etc.
Pour contenter ses partenaires étrangers, Paul BIYA devrait, en plus de la prise de parole annoncée pour vendredi prochain, prendre part aux manifestations spéciales sur la réduction des émissions causées par le déboisement et la dégradation des forêts des pays en développement. Son programme prévoit par ailleurs une série d’audiences, dont celle avec le secrétaire général des Nations Unies. Le dictateur BIYA cherchera probablement à rencontrer le Président Américain, histoire de se faire bonne conscience.
En tout état de cause, c’est un couple présidentiel peu soucieux des problèmes des camerounais qui se trouve actuellement à New York.
© JD pour camerounlibre
PAUL BIYA ET SA FEMME SONT DEUX FOUS
RépondreSupprimerPaul et chantal biya . sont des bandits de grand chemin, des arrivistes qui ne savaient pas un jour se trouver où ils sont, des villageois dangereux.
RépondreSupprimerBel article. c'est tout cela le système biya. les camerounais ont heureusement pris conscience de ce que cet homme est dangereux, très dangereux. il faut trouver les moyens démocratiques de les mettre hors d'état de nuire. Réveil, chers compatriotes; luttons et luttons pour sauver notre pays et assurer son développement.
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