La liberté, rien que la liberté

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mardi 15 décembre 2009

Cameroun : Menaces de mort contre le Professeur Agrégé jean GATSI


Les deux loubards de service identifiés


Il faut dire la vérité aux camerounais. Les évènements dont je suis victime ces derniers temps sont l’œuvre du pouvoir BIYA qui organise et laisse faire faire à leur guise des individus au passé douteux pour destabiliser la science et corrompre l’opinion.Je publiais dernièrement un article pour montrer comment le jeune garçon qui s’était acharné sur mon honneur avait été crapuleusement manipulé à cette fin ignoble. Les commanditaires ont exploité sa vulnérabilité psychologique (le jeune se retrouve aujourd’hui au département psychiatrique de l’hôpital Laquintinie à Douala), pour l’encourager à commettre toutes les exactions dont il a été l’auteur dans cette semaine trouble. Les auteurs directs de ce plan ignoble sont déjà identifiés. Il s’agit de deux individus au passé douteux. Je tairais leurs noms, car ils sont d’une célébrité tellement triste que je ne leur ferais pas l’honneur de les mentionner. Mais ils se reconnaîtront par les traits que je vais exposer ici.

Ils ont en commun de promouvoir la fraude à grande échelle au sein de l’Université de Douala, à la faculté des sciences juridiques et politiques en particulier. Leur rancœur vient de ce que le réseau mafieux de vente de notes, qui leur procurait un chiffre d’affaires d’à peu près cinq millions chacun par semestre, a été démantelé par le nouveau Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois, et les gens de la haute administration de l’Université qui les soutiennent aujourd’hui savent qu’ils ont toujours eu des problèmes avec les Doyens successifs de la Faculté pour ce genre de Pratiques. Ils sortent d’ailleurs d’une période de trois ans de suspension des fonctions d’enseignant, pour fraude aux examens.Incapables de produire le moindre travail scientifique pour changer de grade à l’Université, ils justifient leur stagnation promotionnelle en accusant les autres de tous les maux. Habitués qu’ils sont à acheter tout, ils croient pouvoir acheter même les grades qui sont le fruit de l’apport scientifique. Rien n’y fait justement car de temps en temps, la science sait être objective.

L’un, éternel Assistant, aura fait tous les métiers de ce monde qui ont tout sauf un rapport avec l’enseignement. En effet, de couturier, il a longtemps exercé comme marabout, manipulant aisément formules incantatoires, potions magiques et autres écorces hallucinogènes. L’on comprend que le langage de secte, incantations et bougies rouge lui soit familier. L’on se souvient d’ailleurs qu’il a tenté avec son acolyte de passer le concours d’Agrégation avec une canne magique. A se demander comment il a procédé, après son service de marabout notoirement connu, pour se retrouver contractuel aux impôts. Il en sera d’ailleurs très vite chassé pour vol (les habitudes étant têtues). Il se lance donc dans les études supérieures. Après un doctorat douteux, qui lui permet néanmoins d’être recruté comme assistant (premier grade d’un enseignant du supérieur), il n’a jamais pu glaner le moindre autre grade. Il faut d’ailleurs signaler qu’il vit avec l’état civil de son petit frère décédé très jeune dont il porte le nom et l’âge aujourd’hui. Ces antécédents de thaumaturges font surtout qu’il est surtout accusé dans son village d’avoir donné la mort de ce parent pour se substituer à lui. Vu sa cupidité, sa voracité, une telle éventualité n’est pas à négliger. Il semble que la consommation prolongée des écorces et une escroquerie aggravée lui ont coûté toutes ses dents. Aujourd’hui, il est obligé d’arborer un appareil dentaire.

L’autre, un chargé de cours retraitable, répercute sur son entourage ses déboires sentimentaux. Ce sexagénaire, qui n’assume pas son âge, a justement un lourd passé trouble. En effet, ses problèmes remontent au temps de sa jeunesse estudiantine où il se payait les bonnes grâces d’une jeune magistrate, qu’il envisageait d’épouser. Mais son rêve dut très vite être abandonné car avec sa paresse habituelle, il n’arrivait pas à offrir à la jeune diplômée de l’ENAM, l’objet de ses rêves : un mari bardé d’un Doctorat d’Etat. Elle le quitta pour un autre plus ambitieux. Il faut dire le chemin de la Thèse d’Etat a été difficultueux pour le chargé de cours. L’individu se complaisait, avec un DEA qui lui avait valu un recrutement à l’université, à faire du commerce des notes pour s’enrichir et éblouir les jeunes filles. Il oublia ainsi l’essentiel : faire une Thèse d’Etat. Quand il s’y résolut, ce fut avec la pression d’un maître, le regretté Pr. RGN, contre qui il n’hésita pourtant pas à conspirer aux derniers moments de sa vie à l’université. Remarquons tout simplement que le départ de sa femme diplômée l’affecta tel qu’il devint farouche et revanchard comme s’il avait été victime de conspiration au même titre que ses nombreuses victimes. Aujourd’hui, il se console auprès d’une call boxeuse qu’il n’est même pas fichu de respecter, puisqu’il l’insulte tout le temps et partout où cela lui plaît : c’est sa nature !

Voila brossé le portrait des deux lugubres personnages qui s’attaquent à un Agrégé pour le compte du pouvoir dictatorial de Paul BIYA. Leur stratégie démontre leur faiblesse, car ils n’osent pas m’attaquer de face. Comme à leur habitude, ils préfèrent corrompre pour atteindre leur but. Seulement cette fois, ils ont démontré le plus haut degré du cynisme en se servant d’un enfant qui plus est, ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Et ils se disent juristes, enseignants dans une faculté à côté de nous autres ! Jugez-en vous-même.
© Pr. Jean GATSI, Agrégé des facultés de droit, Université de Douala - Cameroun

31 commentaires:

  1. Bravo grand prof. A travers ce portrait, on reconnait ces deux loubards qui sont au cœur de la fraude à l'université de Douala. C'est bien de les dénoncer. Ces gens sont malades. Merci de dire toujours la vérité.

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  2. Ces deux individus sont les plus grands faussaires de l'université de Douala. Depuis des années, on le sait, on le constate. Et on ne fait toujours rien. Bien au contraire, ces malfaiteurs de la science bénéficient du soutien du rectorat, pour mener une lutte injuste contre le doyen de cette faculté. Ces gens ont toujours triché et vendu les notes comme le prof le décrit dans son article. Maintenant le régime les utilise pour tuer notre grand prof. Si quelque chose lui arrive, on mettra le pays à feu. Le pouvoir de biya va profiter pour massacrer certains d'entre nous. C'est pas grave. Nous aurons au moins contribué à l'histoire de notre pays. Nous voulons la paix à l'université, mais pas avec des tricheurs soutenus par le régime biya.

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  3. La fraude aux examens est une infraction pénale. Je ne comprends pas pourquoi ces loubards ne sont pas en prison. Leur place y est justement. Ils ne doivent pas rester dans un milieu estudiantin car ils sont dangereux pour les jeunes et leur avenir. Saisissez le Procureur de la République.

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  4. Les pouvoirs dictatoriaux utilisent toujours des faussaires pour de basses besognes. Le pouvoir de Paul Biya n'échappe pas à cette pratique honteuse.

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  5. Le professeur agrégé Jean GATSI, notre enseignant, nous fait honneur. C'est un bon enseignant que nous ne devons pas perdre, et probablement le meilleur. En plus il est humain. Nous avons le devoir de le soutenir face aux menaces de mort dont il est l'objet, quels qu'en soient les commanditaires.

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  6. Mr le Professeur Agrégé Jean Gatsi,votre plaidoyer est très pertinent.Mais,sans prétendre vous orienter dans vos actes,il y manque un peu de poigne.L'anonymat dont vous nous nourrissez peut-il être à l'avantage des étudiants qui ne sauront finalement qui est le loup dans la bergerie?C'est vrai que taire les noms pour ne pas donner d'importance à ces individus peut avoir son côté noble mais les étudiants et vos lecteurs ont besoin de savoir à qui ils ont affaire...Vous avez été attaqué publiquement et nommément,pourquoi mystifier vos détracteurs?D'autant plus qu'au regard de ce dernière publication qui est la vôtre,il apparaît que les actes des ces individus dans le temps ont eu pour objectif majeur de causer préjudice à des étudiants.
    Autant vous le dire,je suis remonté en apprenant ce genre de choses bien que j'en suspectait l'existence par la rumeur.Alors,sachez-le,ceci est plus que votre affaire désormais mais aussi celle des étudiants,et si je dois me limiter à ma personne,je dirais la mienne.
    En tout cas,bien de choses dans ce combat que vous entreprenez et qui n'est certainement pas le vôtre uniquement...j'espère avoir l'occasion de commenter le précédent article...
    Aniserg_M1DAFF_

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  7. Sans remettre à cause l'implication de ces individus véreux dans les actes qui leur sont imputés, je serai tout de même modéré en espérant qu'ils ne sont pas eux-mêmes victimes de cet incident. Qu’est-ce qui dit que le jeune appréhendé ne l'a pas fait sciemment afin de faire croire que c'est un tel qui l'a manipulé? En tout cas, au regard de ce que l'on peut appeler le Droit, ils ne sont coupables de rien tant qu'ils n'ont pas été reconnus comme tels par l'autorité compétente.

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  8. La justice doit être dite. Nous espérons que la plainte déposée par le professeur à ndokoti pour dénonciation calomnieuse va nous permettre d'avoir la vérité sur cette affaire, surtout confirmer que ces deux personnes sont fortement impliquées dans le discrédit de notre professeur. Il faut faire confiance à la justice de ce pays.

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  9. trop tard tous les commentaires ont été photocopiés; mr gatsi tu es cuit;

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  10. Professeur agrégé, faites quelque chose. Nous sommes avec vous pour toujours.

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  11. Moi j'ai reconnu les deux loubards. Ce sont les plus grands fraudeurs de l'université de Douala. C'est le recteur qui les couvre. Tant que ce recteur est là, ces fraudeurs vont continuer leur travail et tenter de détruire tous ceux qui font du bon travail comme le doyen. Ils sont montés par le recteur qui est tribaliste contre le pr. Gatsi.

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  12. On cache même quoi là ? Ces deux individus sont connus de tous. L'un c'est le Dr. ALAKA ALAKA Pierre ; l'autre c'est le Dr. MPESSA Alois. Ce sont les cerveaux de la fraude à la FSJP depuis une dizaine d'années.

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  13. Je comprends à présent pourquoi ces gens n'aiment pas le Doyen. C'est parce que ce dernier aime la transparence et lutte contre la fraude à la FSJP. Ils sont soutenus par le Recteur et ses vices pour lutter contre le Doyen.

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  14. Merci grand prof d'être si honnête avec nous! Vous êtes bien le seul dans cette faculté à parler ouvertement, sans langue de bois. Beaucoup de courage à vous, n’oubliez surtout pas que vous avez toute une armée d'étudiants qui vous soutiennent et vous soutiendront jusqu'au bout!

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  15. La justice doit être dite dans cette affaire. Nous attendons le verdict des juges

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  16. Alaka doit partir de l'université puisque son contrat a été résolu par le conseil d'université.

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  17. Que alaka nous dise la vérité. Où sont parties ses dents ?

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  18. Si un homme a vu ses dents cassées par une personne qu'il a escroquée, c'est qu'il n'est pas bien. En plus, on vient d'apprendre que alaka a violé une fillette de 6 ans à bonamoussadi. Il a négocié avec la famille pour qu'elle ne porte pas plainte. Vous défendez donc ce pédophile criminel ?

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  19. ALAKA a détruit la vie de tant de personnes. Il couche les étudiantes dans son bureau de ndokoti qui est l'ancien siège d'une coopérative dans laquelle il a tué un gars bamiléké. Vous racontez quoi là ? Cet individu est dangereux. Et pourquoi à plus de 50 ans il est toujours Assistant ? il a pourtant voulu passer l'agrégation avec une cane magique. Mais il a été renvoyé pour plagiat. Qu'il change alors de grade comme les autres on voit. Ca ne sert à rien de crier qu'il est ceci ou cela; éternel assistant pédophile. Tu vas mourir assistant.

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  20. MESSAGE URGENT : ALAKA a violé une fille de 06 ans à Bonamoussadi. Information à diffuser largement. Code B 48A5

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  21. La fillette de six ans violée par le Dr. Alaka vient de décéder des suites de ses blessures. Il doit aller en prison cette fois.

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  22. Je crois que ALAKA est un fou dangereux. Il n'a plus ses dents parce qu'une de ses victimes les a cassées. L'éternel assistant va aller en prison sans changer le moindre grade. La mère de la fille violée va maintenant porter plainte et bouffer les 5 millions que tu as donnés pour acheter son silence

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  23. Alaka a couché avec les femmes des chefs au village. Ils sont entrain d'organiser la riposte.

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  24. Depuis 1996 que ALAKA a soutenu sa thèse il est toujours Assistant. Il se vante en escroquant les gens. S'il veut prouver quelque chose à l'université, qu'il change de grade comme les autres. Il n'arrive pas à publier un seul article scientifique en ce sens. A l'université, on ne bavarde pas, on écrit et on publie, on change de grade. Il est pratiquement le seul Assistant de sa faculté. Et in ose parler.
    Par ailleurs, je crois savoir qu'il sort d'une période de suspension de trois années d'enseignement pour fraude aux examens. A peine rentré dans les amphis, il veut organiser des grèves contre le Doyen qui prône l'éthique. C'est finalement un fou.
    J'apprends qu'il vient de violer une fillette de six ans qui vient de mourir de ses blessures. C'est quel genre d'homme ça ? Il doit aller en prison méditer sur ses actes car cet individu à problèmes n'a pas sa place au sein de la société.

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  25. Alaka a déclenché son dernier combat. Cette fois, il faut lui montrer qu'il ne peut pas impunément s'attaquer aux autres. Il n'a pas réussi à tuer le Doyen depuis des années. Maintenant il s'attaque à Gatsi. Si quelque chose lui arrive, Alaka et ses enfants devront être brûlés vifs par les étudiants. Qu'il prenne ceci très au sérieux.

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  26. Ne faisons pas des commentaires de bassesse. A l'université, il faut avoir un titre pour parler. Qui est ce ALAKA ? Un éternel assistant ?. S'il était si bon, pourquoi ne change-t-il pas de grade. Un assistant n'a pas de parole à l'université. En dehors, il peut dire ce qu'il veut. Mais ce n'est pas un homme de science. Je lui demande de passer au moins au grade de charger de cours pour ouvrir sa bouche. Sinon qu'il la ferme.

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  27. Alaka a vu son contrat d'assistant résilié par le conseil d'université. Il est en sursis à l'université par le soutien de l'ancien PCA (zéro mort) qui avait estimé que le conseil d'administration devait valider cette résiliation. Au dernier conseil d'université, son dossier n'a même pas été appelé. conformément à ses précédentes déclarations et à ses actes, le recteur devrait demander que cela soit inscrit à l'ordre du jour du prochain conseil d'administration, lui qui a toujours déclaré que ALAKA est le plus mauvais recrutement de l'université de Douala. Il partira de bob de l'université et ne pourra plus nuire aux étudiants. Depuis qu'il est parti des impôts, il n'y a plus de problèmes là bas. Si ce malfaiteur ne part pas de l'université, il y aura toujours des problèmes, quel qui soit le Doyen qui viendra. A moins qu'il ne décide de leur abandonner la fac pour que la fraude se développe.

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  28. Gatsi, c'est moi Alaka Alaka en personne. Tu n'as pas les couilles, sinon des couilles molles. Si tu est courageux, viens m'affronter. mais sache une cose, je vais te tuer. prends cela comme tu veux, mais je vais en fonir avec toi comme je l'ai fait avec Nlep. Je n'ai peur de rien et de personne. Tu dois payer .....

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  29. Gatsi doit mourir, et c'est Alaka qui aura le dernier mot. Ainsi en a décidé le conseil des sages de notre mouvement.

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  30. Tu ne peux nous échapper. Tu n'es rien par rapport aux gens que nous avons mis hors d'état de nuire. Le cerveau de Nlep a été éparpillé sur la route. Le tien le sera pour bientôt, très cher Professeur Agrégé jean gatsi.

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  31. La fraude est omniprésente à la faculté de droit de Douala et on cite toujours les mêmes noms depuis des années. Pourquoi ne pas agir en conséquence ?

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