Titus EDZOA devant le TGI du Mfoundi
L’audience suspendue le 25 novembre 2009 reprend ce mercredi à Yaoundé. Le procès pour détournement de deniers publics contre l’ex-secrétaire général à la présidence de la République, Titus Edzoa reprend ce mercredi matin devant le tribunal de grande instance du Mfoundi à Yaoundé.
La dernière audience dans l’affaire ministère public et Etat du Cameroun contre Edzoa Titus, Atangana Thierry, Njiemoun Isaac et Mapouna, accusés de coaction de détournement de deniers publics, tentative de détournement de deniers publics et de coaction de corruption et de trafic d’influence remonte au 25 novembre 2009 avec l’ouverture effective des débats. Un avocat de la défense avait alors demandé que l’Etat du Cameroun désigne un représentant qui pourra répondre, le moment venu, aux questions posées par les accusés et leurs conseils, conformément aux dispositions du Code de procédure pénale . La présidente de la collégialité des juges, Mme Ako’o, s’était voulue rassurante : « nous avons enregistré le retour de citation de l’Etat du Cameroun. Nous ne savons pas si le représentant de l’Etat se trouve dans la salle. Nous le saurons le moment venu ». L’ouverture des débats avait été précédée du dépôt des lettres de constitution, pour l’Etat du Cameroun, des avocats Sylvain Souop, Ngo Minyogog et Bell Hagbe.
Titus Edzoa, Michel Thierry Atangana, Isaac Njiemoun et M. Mapouna, sont accusés de détournements de derniers publics dont le montant cumulé est évalué à plus de 63 milliards de Fcfa. Les quatre accusés avaient pourtant bénéficié d’un non lieu le 23 octobre 2008. L’ordonnance rendue par Pascal Magnaguémabé, juge d’instruction au Tribunal de grande instance du Mfoundi chargé de l’affaire, avait élargi Michel Thierry Atangana, Isaac Njiemoun et M. Mapouna. Le blocage des comptes bancaires de Michel Thierry Atangana décidé depuis 1997 avait aussi été levé. Seul Titus Edzoa, était poursuivi pour le délit de concussion et le crime de détournement de sept voitures. Mais l’ordonnance de Pascal Magnaguémabé avait fait l’objet d’un appel du procureur de la République devant la chambre de contrôle de l’instruction de la Cour d’appel du Centre. Le 3 février 2009, le collège des juges de ladite chambre de contrôle décidait de rectifier l’ordonnance du juge d’instruction. Tous les chefs d’inculpation balayés par ce dernier avaient été réhabilités.
© Le Jour
La dernière audience dans l’affaire ministère public et Etat du Cameroun contre Edzoa Titus, Atangana Thierry, Njiemoun Isaac et Mapouna, accusés de coaction de détournement de deniers publics, tentative de détournement de deniers publics et de coaction de corruption et de trafic d’influence remonte au 25 novembre 2009 avec l’ouverture effective des débats. Un avocat de la défense avait alors demandé que l’Etat du Cameroun désigne un représentant qui pourra répondre, le moment venu, aux questions posées par les accusés et leurs conseils, conformément aux dispositions du Code de procédure pénale . La présidente de la collégialité des juges, Mme Ako’o, s’était voulue rassurante : « nous avons enregistré le retour de citation de l’Etat du Cameroun. Nous ne savons pas si le représentant de l’Etat se trouve dans la salle. Nous le saurons le moment venu ». L’ouverture des débats avait été précédée du dépôt des lettres de constitution, pour l’Etat du Cameroun, des avocats Sylvain Souop, Ngo Minyogog et Bell Hagbe.
Titus Edzoa, Michel Thierry Atangana, Isaac Njiemoun et M. Mapouna, sont accusés de détournements de derniers publics dont le montant cumulé est évalué à plus de 63 milliards de Fcfa. Les quatre accusés avaient pourtant bénéficié d’un non lieu le 23 octobre 2008. L’ordonnance rendue par Pascal Magnaguémabé, juge d’instruction au Tribunal de grande instance du Mfoundi chargé de l’affaire, avait élargi Michel Thierry Atangana, Isaac Njiemoun et M. Mapouna. Le blocage des comptes bancaires de Michel Thierry Atangana décidé depuis 1997 avait aussi été levé. Seul Titus Edzoa, était poursuivi pour le délit de concussion et le crime de détournement de sept voitures. Mais l’ordonnance de Pascal Magnaguémabé avait fait l’objet d’un appel du procureur de la République devant la chambre de contrôle de l’instruction de la Cour d’appel du Centre. Le 3 février 2009, le collège des juges de ladite chambre de contrôle décidait de rectifier l’ordonnance du juge d’instruction. Tous les chefs d’inculpation balayés par ce dernier avaient été réhabilités.
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C'est un vrai bandit. il mérite de mourir en prison. Il a détruit l'avenir de tant de jeunes en détournant massivement l'argent du contribuable.
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